La célèbre application de messagerie avait fait couler beaucoup d’encre en janvier dernier à travers une annonce pour le moins étrange. Celle-ci indiquait que le réseau social s’apprêtait à effectuer la modification de ses conditions de confidentialité.
Une décision à l'origine incontestable, sous peine de voir son compte supprimé. Découvrez donc la décision finale.
Un accès limité aux diverses options de l’appli
Après de nombreuses critiques, WhatsApp a élaboré de nouvelles conditions d’utilisation prévues pour être en vigueur d'ici au 15 mai 2021. « Si vous ne les acceptez pas d’ici à l’échéance, WhatsApp ne supprimera pas votre compte. Cependant, vous n’aurez qu’un accès limité aux fonctionnalités de WhatsApp jusqu’à ce que vous les acceptiez.
Pendant une courte période, vous pourrez recevoir des appels et des notifications, mais vous ne pourrez pas lire ou envoyer de messages depuis l’application », est-il possible de lire sur le centre d’aide de l’application. Cela est clairement très gênant pour les utilisateurs de l’application de messagerie. Les utilisateurs sont libres d’accepter les conditions avant ou après le 15 mai 2021. L’application précise également qu’il est possible d’exporter ses historiques de discussions sur Android ou sur IOS.
Pas de restauration envisageable pour les comptes supprimés
Par contre, il faut savoir que si vous décidez d’effectuer une suppression de votre compte WhatsApp, il n’y aura pas de retour en arrière possible. En effet, les comptes supprimés ne pourraient être restaurés. « Si vous souhaitez supprimer votre compte sur Android, iPhone ou KaiOS, nous espérons que vous reconsidérerez votre décision.
Nous ne sommes pas en mesure d’annuler cette opération, car elle efface l’historique de vos messages, vous supprime de tous vos groupes WhatsApp et supprime vos sauvegardes WhatsApp a donc mis en garde l’appli.
Mais en vérité, après 120 jours d’inactivité, l’application de messagerie effaçait déjà spontanément les comptes supprimés. « Personne ne verra son compte suspendu ou supprimé le 8 février », avait tenté de rassurer WhatsApp. Au moyen de mesures moins menaçantes, c’est quand même ce qui semble plus ou moins attendre les utilisateurs récalcitrants.
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